Of the moon, flows a golden blood...

(Photos de Solenne)

La beauté est éphémère, forte mais passagère,

Cette éternelle danse, entre terre et ciel,

Lente valse cruelle mais éternelle.

Les papillons nocturnes,

Gardiens des airs, miroir de l'univers,

Toi, l'astre lunaire,

Tu nous éclaires et nous entèrent,

Sous ton masque de fer.

Toi, la lune, brûle, crie puis hurle,

D'effroi et de désespoir, seule dans le noir.

Ton ami, son ennemi,

Ta chaleur et ses peurs,

Ton sourire quand elle rit, 

Ta douleur quand elle pleure.

Le triste soleil,

Tourne et retourne,

puis s'éveille.

La vie puis la mort, le feu puis l'eau,

L'amour et la haine,

Qui je suis ? Qui j'étais ?

Tout cela n'as plus d'importance,

Car dans cette nuit blanche,

Qui m'appelle, sombre brillance,

La nuit nous attire, nous ment, nous fais souffrir.

Pure, doux, saccadé,

Cette nuit, j'ai rêvait, de notre destin lié,

Ébloui par la lumière doré de la nuit qui rayonnait, 

Soudain, j'ai crié...

Green peace

Vous n'avez pas chaud en voyant ça? Parce-que moi, cette photo elle me donne envie de me jeter dans la mer, de sentir l'air frais du printemps qui emmêle mes cheveux, le soleil qui réchauffe ma peau, d'écouter le clapotis d'un ruisseau, de courir jusqu'à n'en plus pouvoir, et de s'étendre dans l’herbe fraîche qui a cette odeur, vous savez à la fois écœurante et vivifiante, tous ça j'ai envie de le sentir de le voir, de le vivre, de le faire entrer en moins, jusqu'à qu'il ne devienne une partie de mon être. Et vous que ressentez vous en la voyant?
Techniquement je sais qu'elle n'est pas parfaite, mais je l'aime bien quand même. Car même si elle est toute simple elle me rappelle combien le printemps est beau, et combien je l'aime après tant de mois passée dans le froid, la pluie, le brouillard, sans jamais sentir la seule magie de cette saison refroidissante, sans jamais toucher du bout de doigts cette création de la nature ; la neige...